Études

Dans le cadre de sa mission d’accompagnement économique des interprofessions, le Cniv achète et produit des études et des données statistiques permettant d’accroitre et d’affiner sa connaissance des marchés français et d’exportation des vins. L’ensemble de ces données couvre un champ large de connaissances allant de la production à la commercialisation. A ces données s’ajoutent des études de fond permettant par exemple d’étudier la compétitivité et le positionnement de la filière vitivinicole française sur le marché international du vin de plus en plus mondialisé.
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Mieux comprendre la déconsommation de vin en France
Les interprofessions réunies au sein du CNIV ont souhaité mieux appréhender le phénomène de déconsommation de vin par les Français. D’après les données de Kantar Worldpanel, beaucoup de consommateurs remplacent le vin par l’eau. Cette étude dégage aussi des pistes de reconquête.
Le marché français : un consommateur en transition alimentaire
Moins d’alcool, moins d’hypermarchés, plus de proximité, plus de repas à l’extérieur : toutes ces évolutions pressenties ces dernières années se confirment, voire se renforcent en 2018. De nouveaux modèles à intégrer pour la filière vins.
Chine, Brésil, États-Unis : les vins français leaders sur le haut de gamme
En Chine, aux États-Unis et au Brésil, le positionnement des vins français se situe plutôt en haut de la pyramide. Face à la concurrence de l’Italie, du Chili ou de l’Australie, comment conserver, voire développer, les parts de marché ? Une étude commandée par le CNIV et FranceAgriMer dresse un état des lieux.
Le marché français des vins impacté par la déconsommation
Malgré un contexte économique global qui s’améliore, les foyers réduisent leurs achats alimentaires. La tendance à consommer moins mais vivre mieux se confirme. Sur le marché des vins, l’érosion se poursuit : perte d’acheteurs, diminution de la fréquence des achats… Pourtant, ce sont les vins les plus chers qui recrutent.
Hors domicile : une carte à jouer pour les vins
Les français prennent plus en plus de repas ou d'en-cas hors domicile... et les accompagnent souvent d'une boisson alcoolisée. Un relais de croissance à considérer pour les vins, alors que la consommation à domicile a tendance à diminuer. Pour la première fois, ces évolutions ont pu être quantifiées, grâce à une étude co-financée par les interprofessions vitivinicoles et FranceAgriMer.
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